martes, 19 de febrero de 2013

La vie continue

3 años. 36 meses. 1096 días. Como pasa el tiempo ¿no? Demasiado rápida, quizá. Y es que la vida continua sin que puedas evitarlo, y hay que aprender a vivir sin ti, y sin todos los que se irán después. Siempre quisiste que continuase escribiendo, y aquí continuo intentándolo aunque no lo veas. Escribí este poema en marzo del 2010, y desde ese día cuelga de la pared de mi cuarto, y al despertar cada mañana es lo primero que veo. 

La vie continue

Des larmes ardentes coulent toujours sur mes jours ;
Je cachais mon visage des regards curieux,
Lorsqu’un enfant s’approcha, m’offrit son jou jou,
Et, il me sourit pour me faire sentir mieux.

Le jour, tu apparais souvent dans mes pensées.
Le soir, tes yeux bleus me poursuivent dans mes rêves,
Dès le moment où l’obscurité s’est imposée,
Là où le soleil se couche et la lune se lève.

J’aimerais te voir car ton visage devient
De plus en plus vague. Mes souvenirs s’échappent.
Ainsi, j’espère seulement que tu reviennes,
Pendant que le chagrin m’enveloppe et m’attrape.

Mais, je m’approche, et je te serre dans mes bras
Et, quand j’ouvre les yeux, je suis dans la toundra,
Lorsque le soir arrive, et que je sens la peur.

Alors, je m’agenouille et je mets sur ta tombe,
Arrosé de larmes ardentes qui coulent e tombent,
Un bouquet de muguet jeune et de roses en fleurs.


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