Cualquiera puede entrar, pero pocos pueden salir

Puede comprender que un adulto fume. Lo vive a diario. Largas jornadas laborales, trabajos agobiantes. Ellos encuentran una vía de escape en el tabaco. No sabe porqué ni le importa.

 Observa impasible a su padre fumarse cajetillas enteras, y le duele, le duele saber que ese humo gris lo está matando por dentro. Pero se calla. ¿Qué le va a recriminar?  El fumador no es el culpable, es la víctima. ¿Victima de qué? De la vida. De la debilidad humana.

Al mirarle ahora, sonríe aliviada. Todo ha terminado, aunque su padre sigue luchando día tras día. Ésta es una guerra para toda la vida y lo sabía, pero fue fuerte y tomó la decisión sólo, sin que lo presionara. Ella simplemente le apoyó, cogiéndole la mano en los momentos duros.

 Puede comprender que un adulto fume, pero no entiende por qué lo hacen los niños grandes, por qué su hermano mayor fuma. A los 16 años, sigo sin entenderlo.

Des regards jaloux

Ce n'est pas une adolescente comme les autres,
Les regards étonnés sont les vôtres.
Ses mouvements sont subtils, silencieux
Elle surprend même les cieux.
Son regard est vif, puissant,
En quelque sorte différent.
Elle marche sûre d'elle-même,
Mène une vie de bohème,
Fait tout ce qu’elle veut,
Même jouer avec du feu.
C’est l’âge des premiers amours,
Elle profite de chaque jour
Sans s’inquiéter,
Personne peu l’arrêter.
Elle fait bien cette jeune fille,
Un jour elle sera vielle
Et sa vie aura passé
Sous ses yeux foncés.
Le temps des émotions,
D’une existence sans préoccupations,
Des esprits rebelles,
Des amis inconditionnels,
Ne reviendra jamais,
Laissant place aux âmes fermées,
Aux yeux sans vie,
À la mélancolie.
Ce n’est qu’un adolescent courant,
Et ces regards jaloux sont ceux des grands.